Sous le ciel émerveillé
Le ciel m’interpelle, m’attire,
La nuit m’emporte entres ses voiles,
La lune danse avec les étoiles,
Jusqu’à ce que la nuit se retire.
Les yeux rivés sur l’immense ciel,
Les épaules recouvertes d’un plaid,
Sur la table éclaire une bougie à led,
Ce soir, il n’y a rien d’artificiel.
Un doux parfum subtil plane dehors,
Un mélange de senteurs floral,
Dans le ciel passent des aurores boréales,
Des couleurs, blanches, roses et or.
Et moi, je reste là, émerveillé,
Par tant de beauté et de magie,
Je me sens si petit et si privilégié,
De pouvoir contempler cette harmonie.
Je voudrais que ce moment dure toujours,
Que le temps s'arrête et se fige,
Que rien ne vienne troubler mon amour,
Pour ce spectacle qui me fascine et m'oblige.
Je frissonne à l’effleurement du vent qui me frôle,
La brise l’enivre d’un rêve secret auquel, je me livre.
Secrètement, d’un amour si profond, je m’enivre,
Pour moi, il n’y a seulement ton sourire qui me console.
Le ciel m’interpelle, m’attire,
La nuit m’emporte entres ses voiles,
La lune danse avec les étoiles,
Jusqu’à ce que la nuit se retire.
Les yeux rivés sur l’immense ciel,
Les épaules recouvertes d’un plaid,
Sur la table éclaire une bougie à led,
Ce soir, il n’y a rien d’artificiel.
Un doux parfum subtil plane dehors,
Un mélange de senteurs floral,
Dans le ciel passent des aurores boréales,
Des couleurs, blanches, roses et or.
Et moi, je reste là, émerveillé,
Par tant de beauté et de magie,
Je me sens si petit et si privilégié,
De pouvoir contempler cette harmonie.
Je voudrais que ce moment dure toujours,
Que le temps s'arrête et se fige,
Que rien ne vienne troubler mon amour,
Pour ce spectacle qui me fascine et m'oblige.
Je frissonne à l’effleurement du vent qui me frôle,
La brise l’enivre d’un rêve secret auquel, je me livre.
Secrètement, d’un amour si profond, je m’enivre,
Pour moi, il n’y a seulement ton sourire qui me console.