Camille, mon petit fils (joyeux anniversaire)
En ce jour où mes pensées soufflent ton doux prénom
Je ne capture de mots pour composer de câlines notes
Le violon dépouillé de son archet et son ami tympanon
La musique se révèle ce premier Juin décorée de loupiotes
Il m’arrive de prêter l’oreille pour goûter ta petite main
Un baiser doux comme une plume au toucher de caresse
J’assiste à la chatouille, tes rires, mon enfant, mon gamin
Construisent des châteaux, d’inoubliables forteresses
Je veille sur ton regard, aujourd’hui, il visionne l’océan
Aussi bleu soit-il, à travers lui je noisette en tant que dentellière
Ce bateau éventré de vagues vers cette nouvelle-Orléans
Les eaux de mes larmes mêlées d’écume sous la coque ventrière
Aucune saison, fleurie ou tourmentée, ne gomme ton aura sur ma peau
Quelles veines histoires ne changent le cours d’une rivière ?
Puis- un jour à travers le déchiré d’un ciel, entre les rameaux ?
Contempler ton visage, illuminer ton chemin de bruyère
Là où les abeilles donnent vie à ce monde perdu, sans fleur
Les ouvrières agonisent et la reine maudit cette terre morte
Qui survivra sans Ailes ? Ces députés Européens en dealeur
Mémé querelle ces dirigeants couverts sous carport ….
Cette lettre mon Amour, pour que cette journée ne soit un oubli
Dans tes mains un jour, elle contera la valeur et ta fibre tatouée
Au fond de mon âme à jamais, toi ma muse, une fleur, un souci
Terre tant aimée, là où l’animal, Camille est libre d’exister …
LILASYS
En ce jour où mes pensées soufflent ton doux prénom
Je ne capture de mots pour composer de câlines notes
Le violon dépouillé de son archet et son ami tympanon
La musique se révèle ce premier Juin décorée de loupiotes
Il m’arrive de prêter l’oreille pour goûter ta petite main
Un baiser doux comme une plume au toucher de caresse
J’assiste à la chatouille, tes rires, mon enfant, mon gamin
Construisent des châteaux, d’inoubliables forteresses
Je veille sur ton regard, aujourd’hui, il visionne l’océan
Aussi bleu soit-il, à travers lui je noisette en tant que dentellière
Ce bateau éventré de vagues vers cette nouvelle-Orléans
Les eaux de mes larmes mêlées d’écume sous la coque ventrière
Aucune saison, fleurie ou tourmentée, ne gomme ton aura sur ma peau
Quelles veines histoires ne changent le cours d’une rivière ?
Puis- un jour à travers le déchiré d’un ciel, entre les rameaux ?
Contempler ton visage, illuminer ton chemin de bruyère
Là où les abeilles donnent vie à ce monde perdu, sans fleur
Les ouvrières agonisent et la reine maudit cette terre morte
Qui survivra sans Ailes ? Ces députés Européens en dealeur
Mémé querelle ces dirigeants couverts sous carport ….
Cette lettre mon Amour, pour que cette journée ne soit un oubli
Dans tes mains un jour, elle contera la valeur et ta fibre tatouée
Au fond de mon âme à jamais, toi ma muse, une fleur, un souci
Terre tant aimée, là où l’animal, Camille est libre d’exister …
LILASYS